EN BAS DE L'EIFFEL SOCIALE

Publié le 26 Juin 2013

EN BAS DE L'EIFFEL SOCIALE

C'est une véritable passion française, une tradition, voire une coutume ancestrale. Le mouvement social, plus vulgairement nommé grève, est un phénomène récurrent dans notre pays. Ce virus maudit la France depuis des dizaines d'années, disons des centaines. Les agitateurs excitent la masse contre le méchant patronat.

Les revendications ? En supposant qu'il y en ait réellement, les grévistes ont des projets. Ils demandent une hausse des salaires, des meilleures conditions de travail... Pourquoi pas des toasts, un petit déj' et même des libertés ? C'est risible : ces petits êtres méprisables se croient en 1789 et réclament des droits égaux. Comme si la France était un pays égalitaire. Bref, si De Gaulle avait été ici il aurait envoyé les CRS débloquer la situation sociale.

Tout ce que ces employés gagnent dans leur grève (qui dure depuis 48 heures) est la chute du tourisme et l'impossibilité pour la noblesse et la bourgeoisie sino-européenne de se désaltérer les papilles au troisième étage de ce sublime bâtiment. En mettant de côté leurs revendications sans importance, on se rend compte que les ouvriers prennent en otage l'économie parisienne, et pire : les riches vacanciers venus des quatre coins de la planète. Bref, ils devraient s'estimer heureux d'avoir du travail et laisser les chefs diriger.

#EnBasDeL'EiffelSociale

Petit rappel : les propos tenus sur ce site, malgré la délicatesse évidente du jugement, peuvent être, éventuellement, ironiques.

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Rédigé par Eiffel Sociale

Publié dans #Société Contrôlée

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